Investir à l’île Maurice
L’île Maurice dispose d’une économie libre et résiliente qui est en plein essor. Elle offre ainsi aux entreprises de nombreuses opportunités de croissance domestique, régionale et internationale.
Offrant un climat favorable aux affaires, tout en respectant les plus importantes normes internationales telles que la loi sur la conformité de l'impôt sur les comptes étrangers (FATCA) et l’échange d’informations automatique « CRS », l’île Maurice offre :
Une stabilité sociale et politique fondée sur le modèle parlementaire de Westminster ;
Un système juridique robuste avec le Conseil privé du Royaume-Uni comme ultime cours d’appel ;
Une infrastructure d’affaires solide en termes de télécommunications et de transports maritime et aérien) ;
Des effectifs bilingues (français et anglais) ;
Un accès à certains marchés privilégiés – l’Accord de Cotonou, la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique, le marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) et la communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) ;
Un système juridique hybride, composé du droit civil et du droit commun, offrant de nombreuses possibilités de planification fiscale ;
Un droit du travail équitable ;
Un mode de vie agréable ;
Aucun contrôle des changes ;
La propriété étrangère de biens immobiliers.
L’île Maurice dispose également d’une politique financière qui favorise l’investissement et la croissance. Certaines des principales caractéristiques de cette dernière incluent :
Les individuels sont taxés à -15% sur tous les revenus, les suivants étant exemptés :
- Les dividendes des compagnies locales (GBCs et domestiques);
- Les intérêts reçus d’institutions financières domestiques ;
- Pas d’impôt sur les plus-values en capital ;
- Pas d’impôt sur la transmission aux héritiers de successions.
En outre, un prélèvement de solidarité de 25% sur le revenu net total (y compris les dividendes), supérieur à MUR 3,000,000, est applicable pour les résidents. Ce prélèvement est toutefois plafonné à 10% du revenu net total (y compris les dividendes).
- Taux d’impôt de 3% pour les sociétés engagées dans l’exportation de produits ;
- Taux d’impôt maximal de 3% si les dividendes et/ou intérêts proviennent de sources étrangères ;
- Taux d’impôt de 3% pour les entités générant des revenus de sources étrangères, tels les organismes de placement collectif (CIS), les fonds à capital fixe, les gestionnaire CIS, les administrateur CIS, les conseillers en placement ou les gestionnaires d’actifs ;
- Pas d’impôt sur les plus-values en capital ;
- Pas de retenue d’impôt sur les paiements de dividendes aux actionnaires.
- Taux d’impôt de 3% pour les sociétés engagées dans l’exportation de produits ;
- Taux d’impôt maximal de 3% si les dividendes et/ou intérêts proviennent de sources étrangères ;
- Taux d’impôt de 3% pour les entités générant des revenus de sources étrangères, tels les organismes de placement collectif (CIS), les fonds à capital fixe, les gestionnaire CIS, les administrateur CIS, les conseillers en placement ou les gestionnaires d’actifs ;
- Pas d’impôt sur les plus-values en capital ;
- Taux d’impôts de 2% pour la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) ;
- Pas de retenue d’impôt sur les paiements de dividendes aux actionnaires.